La vérité donne la vie mais le mensonge tue. On peu prendre
toute les exemples ou on reconnait le mensonge et de là il est toujours facile
d’y trouvé une mort; le mensonge tue la confiance, le mensonge dirige dans une
fausse direction et tue donc le droit chemin.
Au Québec on essaie présentement de se laver d’une
corruption qui a couté cher au fond publique; tellement de mensonge que l’on
doit éradiquer. Une culture de l’insouciance de la part des citoyens et de
multiples couches de la société me semble être responsable de la noirceur où a
proliféré une collusion néfaste et criminel. L’enquête se poursuit où on
cherche à rétablir la vérité et la justice sociale.
Que dire de la politique et de ses politiciens? Selon l’opposition
le parti au pouvoir a toujours tort et lorsque l’opposition monte au pouvoir il
cherche à tirer profit de ce que l’ex gouvernement a pu faire de bon. Et si le
mensonge gagne, que vaut le vote des électeurs?
Je crois que le mensonge politique devrait être reconnu, dénoncer
et punissable de peine même d’incarcération légère selon le mal identifié, je préconise
ici de journées et non d’emprisonnement prolongé. Tout isolement porte à réflexion,
on peut penser à des maisons dépourvues du genre criminel plus commun.
Ironiquement un électeur pourrait avoir choix entre un candidat qui a subit cinq
jours de peines versus un qui a une journée et un autre qui semble vraiment
véridique; maintenant il demeure qu’il faut reconnaître que normalement le
choix retient l’orientation politique. Si les accusations en chambre ne peuvent
être tenues, il devrait y avoir un organisme civile indépendant pour bien
informé les citoyens et là je ne parle pas de journalistes ni de police mais d’accusateurs
qui pourrait identifier ce qui peut porter à réflexion.
Je reconnais que j’avance ce qui semble superflu, et
pourtant il faut savoir identifier la vérité. J’ai personnellement décroché des
partis recherchant le pouvoir il y a déjà plusieurs années, n’étant pas un vrai
séparatiste et ne pouvant accepter une philosophie libérale qui s’est travesti.
Les libéraux provinciaux on recruté malgré sa réticence un
dirigent conservateur fédéral pour devenir leur chef, c'est-à-dire Jean Charest.
Pour moi le parti a alors perdu toute crédibilité, n’ayant plus de philosophie
qui se tient. L’idée était de trouver un leader charismatique pour contrer la
popularité du mouvement séparatiste; c’était là le début de la fin pour
reconnaître la vérité politique.
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