Jun 7, 2013

La vérité donne la vie mais le mensonge tue

La vérité donne la vie mais le mensonge tue. On peu prendre toute les exemples ou on reconnait le mensonge et de là il est toujours facile d’y trouvé une mort; le mensonge tue la confiance, le mensonge dirige dans une fausse direction et tue donc le droit chemin.

Au Québec on essaie présentement de se laver d’une corruption qui a couté cher au fond publique; tellement de mensonge que l’on doit éradiquer. Une culture de l’insouciance de la part des citoyens et de multiples couches de la société me semble être responsable de la noirceur où a proliféré une collusion néfaste et criminel. L’enquête se poursuit où on cherche à rétablir la vérité et la justice sociale.

Que dire de la politique et de ses politiciens? Selon l’opposition le parti au pouvoir a toujours tort et lorsque l’opposition monte au pouvoir il cherche à tirer profit de ce que l’ex gouvernement a pu faire de bon. Et si le mensonge gagne, que vaut le vote des électeurs?

Je crois que le mensonge politique devrait être reconnu, dénoncer et punissable de peine même d’incarcération légère selon le mal identifié, je préconise ici de journées et non d’emprisonnement prolongé. Tout isolement porte à réflexion, on peut penser à des maisons dépourvues du genre criminel plus commun. Ironiquement un électeur pourrait avoir choix entre un candidat qui a subit cinq jours de peines versus un qui a une journée et un autre qui semble vraiment véridique; maintenant il demeure qu’il faut reconnaître que normalement le choix retient l’orientation politique. Si les accusations en chambre ne peuvent être tenues, il devrait y avoir un organisme civile indépendant pour bien informé les citoyens et là je ne parle pas de journalistes ni de police mais d’accusateurs qui pourrait identifier ce qui peut porter à réflexion.


Je reconnais que j’avance ce qui semble superflu, et pourtant il faut savoir identifier la vérité. J’ai personnellement décroché des partis recherchant le pouvoir il y a déjà plusieurs années, n’étant pas un vrai séparatiste et ne pouvant accepter une philosophie libérale qui s’est travesti.  Les libéraux  provinciaux on recruté malgré sa réticence un dirigent conservateur fédéral pour devenir leur chef, c'est-à-dire Jean Charest. Pour moi le parti a alors perdu toute crédibilité, n’ayant plus de philosophie qui se tient. L’idée était de trouver un leader charismatique pour contrer la popularité du mouvement séparatiste; c’était là le début de la fin pour reconnaître la vérité politique.