Un pour tous, tous pour un; c’est la devise des trois mousquetaires d’Alexandre
Dumas. En somme c’est le même thème d’unité où tous on péché par Adam et tous
sont sauvé par Jésus Christ. Sauf que la fiction réside chez les mousquetaires.
L’âge d’Adam nous échappe comme un peut sa véracité, mais les normes me semblent
plus que poétique et l’enseignement divin en attente prophétique du Christ. Le
monde perd son âme, que vaut le monde sans son âme? On est tous égaux et si on
accepte de croire que l’on vie sans
fautes, les anges n’entendent plus de prières et Dieu non plus, car on est tous
fautifs ou pécheurs et le mensonge c’est la mort.
Que vaut les cries de l’homme s’ils ne sont pas plus que
tous les tourments imaginés par la cinématographie? Dieu existe et notre seul
raison de vivre est de lui demander pardon pour les souffrances de son fils
exemplaire puis de lui dire merci pour toutes nos joies terrestres. Il est vraisemblable qu’on se croit indépendant
dans l’univers et maître de notre destiné.
On ne peut pas servir à la foi Dieu et Mammon, c’est qu’il
faut servir Dieu que l’on soit économiste, banquier, manœuvre ou travailleur social. L’ouvrier
mérite son salaire et c’est le service reconnu et honnête qui désigne l’appartenance.
La franchise et la concertation donne les informations qui peuvent à l’occasion
faire déjouer la loi de l’offre et la
demande. Ce n’est pas d’être socialiste hypocrite ou capitaliste abuseur qui doit
primer mais l’effort et la concertation budgétaire. Il faut faire des choix et
ce n’est pas en bernant les électeurs qu’un peuple peu s’enrichir. Il faut
élire des dirigeants honnêtes et malheureusement on a blasphémé le christ et
son effigie en chambre par d’innombrables mensonges cela va de soi. Mais le
temps est proche et il est malheureux qu’on ne la pas reconnu.